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Cabinet d'expertise-comptable nouvelle génération

L'équipe A2N vous accueille à Troyes pour vous proposer un accompagnement complet : expertise-comptable, accompagnement des jeunes créateurs, ressources humaines, transmission d'entreprise, fiscalité personnelle, conseils en gestion de patrimoine.

Qui sommes-nous ?

Puce

A2N Expertise met à votre disposition une équipe de SUPER comptables jeunes, dynamiques, et hautement qualifiées !

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Puce

Nos équipes sont dotées de toutes les nouvelles technologies et logiciels mis à la disposition de notre profession afin de dématérialiser l'intégralité de vos dossiers. Cette organisation nous permet d'être au plus près du chef d'entreprise dans sa gestion au quotidien.

Elle permet également de vous doter d'un coffre-fort électronique dans lequel sont stockés tous vos documents comptables : pièces comptables, comptes annuels, contrats, éléments sociaux...

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Quote Quote Notre souhait est de réinventer le cabinet comptable d'aujourd'hui et d'apporter une qualité de services et une réactivité accrues à vos besoins.

Nos compétences

Expertise-comptabilité

Nous vous accompagnons dans le développement de votre entreprise et vous assistons sur :

- L'organisation et la gestion administrative et comptable,
- La mise en place des outils de gestion,
- La mise en place de votre comptabilité,

Accompagnement

Nos équipes vous accompagnent :

- Pour tester la faisabilité de votre projet,
- Dans vos choix juridiques et sociaux,
- Dans l’établissement de votre prévisionnel.

Ressources humaines

Afin de consacrer un maximum de votre temps à la conduite et à la motivation de vos équipes nous vous libérons de nombreuses contraintes juridiques et administratives : élaboration des contrats de travail, bulletins de paie et déclarations sociales périodiques, élections des représentants du personnel, audits sociaux…

Transmission d'entreprise

Transmettre ou céder son entreprise, au sein de sa famille, à ses salariés ou des tiers, suppose d’anticiper cette opération critique pour que la pérennité soit au rendez-vous. Nous vous accompagnons pour faire les bons choix juridiques, fiscaux et sociaux.
Nos équipes mettront en œuvre leurs compétences afin de donner la meilleure valeur à votre entreprise et vous accompagneront dans le processus de transmission.

Fiscalité

Optimisation de la rémunération du dirigeant : nous vous permettons d’améliorer votre enveloppe disponible sans mettre en péril l’équilibre entre les intérêts personnels et économiques de l’entreprise tout en bénéficiant des avantages sociaux et fiscaux.
Maîtriser et prévoir l’impôt sur le revenu : des conseils pour vous permettre d’anticiper et d’optimiser votre impôt.

Conseil de gestion de patrimoine

- Préparer sa succession,
- Optimiser la charge fiscale et financière,
- Protéger ses proches,
- Assurer la pérennité de l’entreprise et du patrimoine,
- Développer son patrimoine et contrôler l’IFI.

La « super » team A2N

Anne Neff
Anne Neff Nourrisson
Expert Comptable
Sabrina Vilayphiou
Sabrina Vilayphiou
Comptable
Sabrina Vilayphiou
Maryline Verger
Responsable du service social
Sabrina Vilayphiou
Aurélia Belal
Comptable confirmée
Sabrina Vilayphiou
Ophélie Pinto-Carneiro
Comptable
Lora Delepine
Lora Delepine
Assistante Comptable
Elodie Radet
Elodie Radet
Comptable confirmée
Maïlyse Prévôt
Maïlyse Prévôt
Secrétaire Comptable

Nos Actus, conseils & blog

Qu'est-ce qu'un débours en comptabilité ?

14 AVRIL 2025

En tant que chef d’entreprise, vous aimeriez pouvoir avancer certaines dépenses pour vos clients… sans que cela impacte votre chiffre d’affaires ou n’alourdisse vos charges sociales ? C’est là que les débours entrent en jeu. Vous en avez peut-être déjà entendu parler, sans vraiment savoir à quoi ils servent ni comment les utiliser concrètement. La Team A2N vous aide à y voir clair et vous donne toutes les clés pour maîtriser ce mécanisme souvent méconnu mais trèèès utile.

Qu’est-ce que les débours ?

Les frais de débours correspondent aux sommes que vous avancez pour le compte de vos clients. Ce ne sont pas des dépenses liées directement à votre activité, mais des paiements effectués en votre nom pour répondre à un besoin spécifique. Une fois ces frais engagés, vous pouvez vous faire rembourser par votre client, sans que cela ne soit considéré comme un revenu.

Ce mécanisme est couramment utilisé dans certaines professions, notamment chez les avocats ou notaires, qui doivent parfois avancer des frais pour mener à bien leurs missions. L’avantage des débours, c’est qu’ils ne sont pas soumis aux charges sociales, car ils ne constituent pas une rémunération, mais transitent simplement par vous. Pour être remboursés, ces frais doivent être justifiés et clairement distincts de vos honoraires ou du prix de la prestation.

Pour qui sont-ils avantageux ?

Les frais de débours constituent une solution avantageuse pour les auto-entrepreneurs, car ils permettent d’éviter une augmentation artificielle de leur chiffre d’affaires. En facturant directement à leurs clients les dépenses engagées en leur nom, ces frais ne sont pas intégrés dans leurs revenus, ce qui réduit l’assiette de calcul des cotisations sociales et des impôts.

Ce système permet ainsi d’éviter de payer des charges sur des montants qui ne constituent pas une véritable rémunération. Sans cette option, ces frais viendraient gonfler le chiffre d’affaires et pourraient faire dépasser plus rapidement les seuils de la micro-entreprise.

Dans quels cas utiliser les débours ?

Les frais de débours peuvent être utilisés dans plusieurs situations :

Achat de biens ou services pour un client
Si votre activité implique l'achat de produits ou de prestations pour réaliser un service, les débours vous permettent d'éviter d'intégrer ces coûts à votre chiffre d'affaires. 

Expédition de produits
En tant qu'entrepreneur, si vous vendez des biens ou objets nécessitant une expédition, vous pouvez choisir de ne pas inclure les frais postaux dans votre prix de vente, afin d'éviter de fausser votre chiffre d'affaires. Ces frais peuvent être facturés séparément sous forme de débours, ce qui permet de mieux refléter la réalité financière de votre activité.

Professions réglementées
Certaines professions, comme celles des avocats ou notaires, utilisent fréquemment les débours. Ils avancent des frais tels que des droits de publicité, des frais d'huissier ou l'envoi de documents en recommandé. Ces dépenses sont ensuite refacturées au client, sans modification du montant facturé.

Déplacements et prestations spécifiques
Si vous effectuez un déplacement ou engagez des frais spécifiques à la demande de votre client, vous pouvez opter pour les débours plutôt que d'intégrer ces coûts à votre facturation. Toutefois, il est important de noter que les frais de kilométrage ne peuvent pas être considérés comme des débours.

Comment faire une note de débours ?

Pour rédiger une note de débours, il faut d'abord identifier les frais avancés pour le compte de votre client. Ces dépenses doivent être directement liées à la prestation fournie et être justifiées par des documents officiels tels que des factures ou des reçus. Assurez-vous que les justificatifs comportent bien les informations du client et non celles du prestataire, afin d’éviter toute confusion dans la comptabilité.

Une fois les frais identifiés, la note de débours doit être rédigée de façon claire et détaillée. Elle doit inclure les éléments suivants :

  • Les coordonnées du prestataire et du client

  • Une description précise de la prestation réalisée

  • La liste des frais avancés avec leur montant exact

  • La date et les références des justificatifs correspondants

  • Le mode de remboursement ainsi que le délai attendu

Il est préférable d’obtenir un accord écrit du client, sous forme de mandat de débours, avant de procéder à ces achats.

Une fois la note de débours rédigée, transmettez-la au client, accompagnée des justificatifs. Il est également recommandé d’inclure les conditions de remboursement pour éviter tout retard dans le paiement.

Pourquoi établir un mandat pour les frais de débours ?

Établir un mandat pour les frais de débours permet de définir clairement les dépenses engagées au nom d’un client et d’éviter toute confusion. Ce document officialise l’accord du client et précise les conditions de l’achat, telles que le type de produit ou service concerné ainsi que le budget alloué. En cas de litige, il sert de preuve et facilite la justification des dépenses, notamment lors d’un contrôle fiscal.

D’un point de vue comptable, le mandat garantit que ces frais sont bien considérés comme des avances remboursables et non comme du chiffre d’affaires. Cela permet d’éviter une augmentation artificielle du revenu déclaré de l’entreprise et d’assurer une imposition correcte. Sans ce document, il serait difficile de prouver que l’argent perçu est un simple remboursement et non une prestation facturée.

Comment comptabiliser les débours ?

L’enregistrement comptable des frais de débours suit un processus précis :

Lors de l’achat du bien ou du service pour le client

Quand une entreprise paie un débours, cette somme est enregistrée comme une avance de trésorerie. Il faut :

  • Débiter le compte 467 (“Autres comptes débiteurs ou créditeurs”) pour indiquer que la somme est due par le client.

  • Créditer le compte 512 (“Banque”) pour refléter la sortie d’argent.

Lors de la refacturation au client

Quand l’entreprise se fait rembourser par son client :

  • Débiter le compte 411 (“Clients”), car c’est une somme à encaisser.

  • Créditer le compte 467.

Bon à savoir : La TVA ne s’applique pas aux frais de débours, car ces dépenses sont engagées au nom et pour le compte du client. Contrairement aux frais classiques d’une entreprise, ils ne sont pas considérés comme des charges et ne doivent pas être inclus dans le chiffre d’affaires.

Lors de la refacturation, ces dépenses doivent être clairement distinguées sur la facture, sans appliquer de TVA. C’est le client qui reste responsable de cette taxe, puisqu’il est considéré comme l’acheteur réel.

La Team A2N est à vos côtés pour vous accompagner dans la gestion de vos débours, de la rédaction des notes à la comptabilisation des frais, tout en veillant à ce que vous respectiez vos obligations fiscales et comptables. Contactez-nous pour simplifier la gestion de vos dépenses avancées et garantir leur remboursement dans les meilleures conditions ☺

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Le résultat net comptable, késako ?

08 AVRIL 2025

Vous avez vu sur vos documents comptables la mention de "résultat net comptable", mais vous vous demandez ce que c’est exactement. La paperasse, ça nous connaît, et la Team A2N sait bien que parfois, ça en perd plus d’un ! Vous voulez savoir ce qu’est le résultat net comptable ? À quoi ça sert ? Comment le calculer et comprendre le résultat ? Pas de panique, avec A2N à vos côtés, tout sera bien plus clair ! On vous explique tout pour que vous puissiez enfin comprendre cet indicateur essentiel sans vous en tirer les cheveux

Qu'est-ce que le résultat net comptable ?

Le résultat net comptable d’une entreprise correspond à la différence entre les produits et les charges constatées sur un exercice comptable. Il mesure les ressources nettes restantes à l’entreprise à la clôture de son exercice. En d’autres termes, c’est ce qui reste une fois que l’entreprise a payé toutes ses dépenses, y compris les impôts.

Ce résultat figure dans deux documents comptables : le compte de résultat et le bilan comptable.

À quoi sert le résultat net comptable ?

Le calcul du résultat net comptable est essentiel pour plusieurs raisons :

  • Mesurer la rentabilité : Il permet aux dirigeants et aux investisseurs d’évaluer si l’entreprise génère des bénéfices ou subit des pertes.

  • Déterminer les dividendes : Il sert de référence pour fixer le montant des dividendes versés aux associés, lors de leur affectation en assemblée générale ordinaire.

  • Orienter les décisions stratégiques : Un résultat net positif peut encourager des investissements ou des recrutements, tandis qu’un résultat négatif incite à ajuster la gestion des coûts et la stratégie globale.

  • Rassurer les partenaires financiers : Banques, investisseurs et fournisseurs s’appuient sur cet indicateur pour évaluer la solidité financière de l’entreprise avant d’accorder un crédit ou un financement.

  • Respecter les obligations légales : Il figure obligatoirement dans le bilan et le compte de résultat annuel de l’entreprise.

  • Analyser l’évolution financière : Comparé d’une année sur l’autre, il permet d’identifier des tendances et d’évaluer la progression de l’activité.

  • Calculer les ratios financiers : De nombreux indicateurs financiers, essentiels pour piloter l’activité, sont directement liés au résultat net comptable notamment sa capacité d'autofinancement.

Comment se calcul le résultat net ?

Le résultat net comptable est calculé à la clôture de chaque exercice comptable. Il se compose du résultat d’exploitation, du résultat financier, du résultat exceptionnel et de la déduction éventuelle de l’impôt sur les sociétés.

➡ Calcul résultat net = résultat d’exploitation + résultat financier + résultat exceptionnel – impôt sur les sociétés

Si le résultat net est positif, on parlera de bénéfice et s’il est négatif, de déficit.

Comment interpréter le résultat net comptable ?

L’interprétation du résultat net comptable est cruciale pour une gestion optimale de l’entreprise.

Dans le cas où votre résultat net comptable est positif

Un résultat net comptable positif indique que l’entreprise est rentable. Cela lui permet d’envisager différentes options telles que réinvestir ses bénéfices, distribuer des dividendes ou créer une réserve financière pour soutenir sa croissance. Toutefois, il est important de noter que le résultat net comptable n’est qu’un des nombreux indicateurs pour évaluer la santé financière de l’entreprise. D’autres éléments comme la marge brute, les flux de trésorerie ou l’endettement à long terme doivent également être pris en compte.

Dans le cas où votre résultat net comptable négatif

Lorsqu’un résultat net comptable est négatif, cela signifie que l’entreprise a dépensé davantage que ce qu’elle a généré. Cette situation peut être temporaire, notamment en raison d’investissements stratégiques, mais si elle perdure, elle pourrait menacer la stabilité et la pérennité de l’entreprise.

Faites appel à la Team A2N ! Si vous avez des questions sur le résultat net comptable ou sur la gestion financière de votre entreprise, on est là pour vous accompagner. Que ce soit pour optimiser vos choix financiers, mieux comprendre vos documents comptables ou ajuster votre stratégie, on vous aide à prendre les bonnes décisions.

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Pourquoi le principe de prudence est-il crucial pour une entreprise ?

28 MARS 2025

En comptabilité, surestimer les bénéfices ou ignorer les pertes à venir peut fausser complètement l’image de santé de votre activité. C’est ici que le principe de prudence entre en jeu : anticiper les pertes dès qu’elles se profilent et ne reconnaître les profits qu’une fois réellement acquis. Un réflexe essentiel pour éviter les mauvaises surprises et garantir une gestion financière saine et équilibrée. Avec la Team A2N, le principe de prudence n’aura plus de secrets pour vous.

Qu’est-ce que le principe de prudence en comptabilité ?

Le principe de prudence est l’un des fondamentaux de la comptabilité. Il impose de ne pas anticiper des gains incertains et, à l’inverse, de comptabiliser les pertes dès qu’elles sont probables. L’objectif est d'offrir une image fidèle et réaliste de la situation financière d’une entreprise, en évitant toute surestimation des bénéfices ou sous-estimation des risques.

Ce principe est inscrit dans les règles comptables fondamentales du Plan Comptable Général. En clair, cela permet d'éviter qu’une entreprise ne présente un bilan trop optimiste, au risque d’induire en erreur investisseurs, créanciers et administration fiscale.

Bon à savoir : Contrairement aux normes françaises qui intègrent ce principe dans les règles comptables, les normes IFRS (normes comptables internationales) privilégient le principe d’image fidèle, qui vise à représenter la situation économique de l’entreprise de manière plus neutre.

Comment s’applique le principe de prudence en comptabilité ?

Le principe de prudence en comptabilité implique plusieurs règles qui influencent directement la manière dont une entreprise évalue son patrimoine et établit ses états financiers. L'objectif est d’assurer une gestion rigoureuse et réaliste des comptes.

➡ Les provisions pour risques et charges

L’entreprise doit comptabiliser des provisions pour couvrir des pertes ou charges futures dès qu’elles deviennent probables. Cela inclut des situations comme :

  • Les litiges en cours qui pourraient donner lieu à des indemnités à verser ;
  • Les créances douteuses, c’est-à-dire quand un client risque de ne pas honorer sa dette ;
  • Les engagements contractuels tels que des garanties, indemnités ou pénalités qui pourraient entraîner des charges futures.

➡ La dépréciation des actifs

Si un actif perd de sa valeur (immobilisation, stock, investissement), il doit être déprécié pour que sa valeur comptable reflète la réalité économique.

L’amortissement des biens

Indépendamment du bénéfice réalisé, l’entreprise doit procéder à l’amortissement de ses immobilisations, pour prendre en compte leur perte de valeur avec le temps. Cela concerne des biens comme des machines, des véhicules, ou des équipements.

Bon à savoir : À la clôture de l'exercice, il est interdit d'enregistrer des profits non réalisés. 

Comment le principe de prudence s'applique-t-il en fiscalité ?

En fiscalité, le principe de prudence joue un rôle essentiel pour garantir que l’entreprise présente une image réaliste et fiable de sa situation financière. Il se manifeste principalement dans la manière dont l’entreprise traite ses charges, ses provisions et ses amortissements, afin d'éviter une surestimation de ses résultats imposables. Voici comment il s'applique concrètement :

L'impact des provisions et des amortissements sur la fiscalité

Lorsque des risques ou des charges futures sont identifiables, l’entreprise doit prendre des mesures pour les anticiper. Toutefois, l’administration fiscale n'acceptera la déduction de provisions que si elles remplissent des conditions très précises. Elles doivent être :

  • Justifiées par des éléments tangibles et réels, comme des litiges en cours ou des créances douteuses ;
  • Probables, et non basées sur de simples suppositions ;
  • Quantifiables de manière précise, ce qui permet de les évaluer correctement.

Si l’entreprise comptabilise des provisions non conformes à ces critères, l’administration fiscale pourrait réintégrer ces montants dans le calcul du résultat imposable, ce qui augmenterait la base d’imposition et, par conséquent, l’impôt à payer. À l’inverse, si des provisions légitimes ne sont pas comptabilisées, l’administration fiscale ne corrigera pas le résultat.

L’amortissement minimum obligatoire

L’administration fiscale impose un amortissement minimum sur certains biens (immobilisations corporelles comme les machines ou bâtiments). Si une entreprise ne respecte pas cette obligation, elle perdra le droit de déduire ces amortissements de son résultat fiscal, augmentant ainsi son impôt à payer. Cette règle vise à garantir que les entreprises appliquent un traitement fiscal cohérent et ne sous-estiment pas leurs charges.

La comptabilité repose sur 4 principes fondamentaux, et la prudence en fait partie. Ce principe vous protège contre la surestimation des bénéfices et vous oblige à anticiper les pertes dès qu’elles se profilent.

Si, après avoir pris connaissance de ces éléments, des questions restent en suspens, sachez que notre équipe de super comptables est là pour vous guider. Nous serons ravis de vous accompagner et de vous offrir des conseils personnalisés pour gérer au mieux votre comptabilité et vos obligations fiscales !

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